Un roi du showbiz couronné de plus de 150 millions d'albums à travers le monde mérite de se voir offrir deux soirées sur la scène du festival. Ballades, rock et pop disco des quatre dernières décennies ont été au cœur de cette deuxième soirée. Le tout assaisonné d'un soupçon d'humour anglais. Toujours pas émoussé à 67 ans et «forever young»: du pur Rod Stewart live. Les compositions mystiques et la voix mystérieuse d'Anna Aaron ont ouvert cette soirée mémorable.

Zeno van Essel

Avec le généreux soutien de l'association «Freunde der BALOISE SESSION».

Le traiter de «Old Raincoat», serait un réel affront. Mais la seconde moitié du titre de son premier album «An Old Raincoat Won’t Ever Let You Down», sorti en 1970 lui correspond tout à fait: Rod Stewart ne déçoit jamais! Si l'anglais à la voix éraillée et à la coupe hérissée brillait dans les hitparades des années 70 et 80, il s'est depuis imposé comme un grand crooner, notamment grâce à sa légendaire série d'albums Great American Songbook. Ses grands titres, «Sailing», «Baby Jane» et «Da Ya Think I’m Sexy» ont résonnés aussi à Bâle. Pour l'accueillir sur scène, on à retrouvé le combo de pop indie bâlois «We Invented Paris», qui fait déjà figure de groupe culte dans la région.

Zeno van Essel

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